Politiques gouvernementales visant à structurer les marchés intérieurs comme les marchés extérieurs, éclosion de nouveaux réflexes ainsi que de nouveaux schèmes, modes et façons de vivre comme de vouloir consommer, l’investissement mondial se paramètre davantage, et devient plus mesuré pour se conformer aux attentes des consommateurs mondiaux.
Cet investissement mondial, nous le captons et le croisons chez Club du Commerce par un système ingénieux et innovant de négoce international, qui fait intervenir l’ensemble de la chaîne de valeur de la distribution pour l’adapter localement, là où le marché est réactif et rémunérateur.
Suite aux grandes orientations mondilaes et prévisions du landerneau d’experts économiques, ainsi que des successives stratégies industrielles et commerciales respectives, la nécessité de croître de manière optimale, d’enregistrer une performance économique valorisante à tous les égards ; création d’unités de production, création d’emplois, attrait des territoires, augmentation de la confiance des ménages, dynamisation de la consommation intérieure, promotion du Made in World, encouragement des exportations; permettent à ce jour, d’augmenter les niveaux décisionnels macroéconomiques pour une inscription dans la durée des politiques économique et monétaires dans une sorte de prospérité et de roseraie bénéfique générale.
Ce modèle ancien japonais, refondu permet à ce jour, de se concentrer sur les poches effectives de croissance et créatrices de richesses immédiates. Il n’est plus admis d’ériger des stratégies à long terme, qui in fine, ne se synthétisent plus par les effets positifs escomptés et attendus.
Club du Commerce pense que les impératifs géo économiques actuels se résoudront par un meilleur jeu d’échanges commerciaux, il s’agit dorénavant de solutionner les équations de la mondialisation, par la technicité, l’efficacité, le pragmatisme, le concret, et les primautés qui s’imposent dans une donne économique complexe et incertaine.
Club du Commerce intéresse les fabricants mondiaux en leur proposant des solutions de vente, de bout en bout, en adéquation avec les impératifs du marché mondial, avec en amont une donne de servicisation industrielle et une connaissance profonde du consommateur.
Au-delà, d’une simple stratégie de distribution visant à trouver des partenaires externes aptes à vendre le produit mais surtout à le recommander, les fabricants prennent conscience d’être intégralement impliqués dans la chaîne d’approvisionnement du produit, en partant de son ingénierie, jusqu’à sa vente.
Pour ce faire, beaucoup d’entre eux éprouvent des difficultés liées à l’opacité des marchés internationaux, ou encore l’étroitesse des opportunités de distribution, en rapport avec les paramètres apparentes du couple Produit – Marché, le manque de moyens financiers pour assurer une rentabilité durable, l’absence des structures et cabinets d’affaires internationaux privés, qui font office de médiateurs et signataires pour le compte de leurs clients.
Afin d’y arriver, les Sociétés de Commerce, les SAI (Sociétés d’Aide à l’Internationale) s’imposent à l’heure actuelle comme les seules structures et organisations, habilitées à faire du Renseignement économique pour le compte des intérêts privés de leurs membres.
Dans la mouvance de la société de la connaissance, The Knowledge Society, une ère nouvelle, où de grandes idées jaillissent et où l’information économique est omni présente, une information ravageante et frustrante, avec des flots informationnels qui deviennent désormais prioritaires à trier, à organiser, pour une parfaite maîtrise de l’environnement des affaires privées, politiques et sociales.
Chez Club du Commerce, nous croyons en la richesse du savoir, et de l’expérience. Nous croyons surtout en l’Homme, hommes et femmes, qui ont construit l’humanité grâce à leurs intelligences, leurs ingéniosités, leurs technicités, ainsi que leurs capacités à diriger un projet vers le succès.
Ce constat, nous a permis de développer la plus grande organisation commerciale mondiale connectée et basée sur la force du réseau associé. Nous savons que ceci est puissant et que les échanges croisés, y résultants, distribuent de l’intérêt de façon proportionnel et satisfaisant.
Nous sommes également conscients de la nécessité de mettre en relation, les plus aptes de cette gente si stratégique, maçons et constructeurs du monde de demain, entrepreneurs, affairistes, et hommes politiques, à se lier de sentiments professionnels concourants aux grandes réalisations.
Une seule compétence croisée permet de résoudre cette équation à multiples inconnues ; elle est célèbre et communément appelée Intelligence Economique et Stratégique (IES), gestion du savoir, relations publiques, gestion des connaissances, et influence.
Ceci constitue de façon foncière la méthode du cabinet : nous fonctionnons et réfléchissons au travers du management stratégique de l’information. Nous renchérissons pour pondre une direction et in fine, une décision d’investissement.
Pour ma part, je définis l’IE comme étant une couronne royale qui sacre son praticien et expert, comme étant une ressource intelligente Pluridisciplinaire et Tout Terrain.
Pluridisciplinaire car l’IE est une sorte de couteau suisse qui fait appel aux sciences politiques, économiques, managériales, et régaliennes, tout en investissant en profondeur les sujets en question. Tout terrain, car aucun secteur d’activité, ni grands thèmes n’a de secret pour un Maître en Intelligence économique; le cas échéant, il perdrait le sens de sa profession.
L’IE nie le classicisme théorique de métier, pour évaluer le critère et le niveau de performance le plus élevé dans cette discipline, qui réside dans la capacité d’interprétation réelle et augmentée de l’information collectée. C’est une question de cerveau. Elle implique un concours parmi les plus éminences des lumières sur les directions à prendre.
L’IE est une aussi fondamentalement une histoire de compétitivité et de concurrence. Se renseigner de l’autre côté, permet de se maintenir à des niveaux élevés sur la scène entrepreneuriale, d’innover d’un degré supérieur, et de rafler un avantage concurrentiel probant vis-à-vis d’une clientèle donnée.
L’IE envisage tout secteur d’activité et toute problématique particulière en produisant une grande pensée stratégique, propice au développement des affaires, à la défense d’intérêts, la maîtrise des crises par la recherche de solutions, à l’amélioration des perceptions et des images, à la conclusion des accords contractuels bénéfiques, ceci dans une fin de gains conséquents, et d’accomplissement des stricts objectifs. C’est l’autre aspect de l’IE, soit l’influence.
Enfin, L’IE demeure une discipline schizophrène, car seul la nature du mandat de la mission poursuivie, peut la canaliser et lui permettre une mission accomplie.
Youssef BENKIRANE
Chairman Club du Commerce